Pas d’éveil
5 sept 2009 par Daniel
Je crois qu’il n’y a, en vérité, aucun éveil.
Seulement un esprit, qui d’un coup ou petit à petit, se rend compte qu’il avait tort.
Tort d’avoir peur, tort de croire être « notre » centre, tort de parler plus fort que notre cœur.
Alors l’esprit, petit à petit, ou d’un coup, se tait, ou cesse de parler tout le temps, de décider, et de croire que lui seul « gère » la situation.
Alors le cœur, qui n’avait jamais cessé d’être là, et de prodiguer sa sagesse, commence à se faire entendre
Rien n’a changé, et tout a changé!
Ô ma turbulente histoire!…
Tu m’as vécu jusqu’à plus soif!…
Maintenant,
mon coeur aspire à ton silence…
Maintenant,
mon coeur aspire à être Vrais…
Maintenant,
paroles du coeur a prit le ton…
et c’est l’Amour qui tiens le cap !
Alors, j’entends…
La source murmure au coeur…
Elle console, rassure, oriente, dirige,
c’est elle qui fait le premier pas,
celui dans l’inconnu…
Ne reste qu’à laisser-faire…
à se laisser Être…
Elle chuchote tendrement…
» Je t’aide ! donne-moi la main ! « …
Merci à tous !
Merci à tout !
Merci de Vivre l’existence,
cette totalité infinie !
Merci de croître et d’essaimer !…
Merci !
Salut Irina
Je vois que j’avais pas répondu à ce superbe commentaire! Merci à toi, c’est un plaisir de te lire, et de te sentir dans cette appréciation tout azimut!
C’est vrai que quand on regarde en arrière dans notre vie, notre histoire, quelle folie, quel tourbillon!
Cependant, pour le bénéfice de tous, je dirais que l’histoire n’a même pas à faire silence. Certain peuvent le souhaiter, mais pour d’autres cela peut paraître impossible a atteindre, ou pas tentant.
Notre histoire n’a même pas à faire silence, car notre coeur est vrai depuis le début… et la source dont tu parles est là, en train de couler, et prête à aider, dans chaque être, au coeur de son histoire actuelle!
les mots ne sont rien mais quand ils émanent du cœur……quelle lumière de nous mêmes ils révèlent…quelle joie de les lire
Merci Daniel, Merci Irina
Il est vrai que le cœur est vrai avec l’ histoire….et sans l’histoire…